Nous joindre
X
Rechercher
Publicité

Exclusif : Le maire d'Otterburn Park Michel Martin démissionne

durée 00h00
30 août 2011
1ici

commentaires

ici

likes

 

vues

imprimante

Lundi dernier, Michel Martin a annoncé sa démission en tant que maire d'Otterburn Park. Il quittera le 2 septembre.

En raison de problèmes de santé, Michel Martin souhaite se retirer de la vie politique. Le stress et la pression exercée à son égard semblent avoir eu raison de lui à la mairie de la municipalité.

En entrevue avec le Vallée-du-Richelieu Express.ca, avant son geste définitif lundi soir, Michel Martin explique quitter pour des raisons personnelles. « Il y a des conditions personnelles et professionnelles que je ne peux accepter », a-t-il déclaré.

Souhaitant se concentrer sur sa santé, Michel Martin a donc pris la décision de démissionner en tant que maire d'Otterburn Park.

Le conseiller municipal Richard Ruest attribue son départ à la forte tension qui règne au sein de la mairie et du conseil. « Je sais que Michel Martin a des problèmes médicaux, explique-t-il. Il ne peut plus prendre beaucoup de pression et de stress. L'héritage du conseil précédent nous donne énormément de maux de tête. »

Plusieurs dossiers font présentement l'objet de discussions et les membres du conseil semblent divisés. De plus, selon certaines sources, la relation entre le directeur général, Daniel Desnoyers, et M. Martin serait houleuse.

Les mauvaises relations de travail ont mené M. Martin à remettre en question son implication au sein de la municipalité.

N'étant pas surpris de la décision du maire, M. Ruest a confirmé l'hypothèse de la pression interne à la mairie. « Vous savez, on peut devenir malade en raison du stress et de la pression, et M. Martin en vit beaucoup. Les couteaux volent bas à Otterburn Park », a-t-il conclu. 

commentairesCommentaires

1

Pour partager votre opinion vous devez être connecté.

  • CB
    Claude Bérubé
    temps Il y a 12 ans
    Les raisons qui ont poussées M. Martin à donner sa démission sont très légitimes et je crois qu'il faut respecter les circonstances personnelles de ce dernier à prendre cette décision sans appel. Par contre, selon l'article paru dans cette édition express, il semble, d'après les dires de Richard Ruest, la pression interne à la mairie, donc le mauvais climat de travail entre les élus, soit une cause déterminante du départ de M.Marrtin. Du point de vue d'un ancien conseiller municipal, quand je lis des citations du genre: "L'héritage du conseil précédent nous donne énormément de maux de tête. »me laisse une sensartion de: sur qui pourrions nous bien mettre la faute de tout nos maux afin que l'attention soit détournée vers des boucs émissaires qui ne sont plus là pour se défendre et ainsi cacher à la population notre incapacitée à gérer une ville comme Otterburn Park. Le manque de courage politique, de sens des responsabilités, de vision à court, moyen et long terme d'un conseil divisé, sans unité et sans engagement social voit sont aboutissement lorsque nous entedons et lisons de tels commentaires de la part d'un élu....

RECOMMANDÉS POUR VOUS


10 mai 2024

Transport en commun: l'UMQ demande plus de financement du gouvernement fédéral

Confrontée au gouvernement caquiste dans des négociations difficiles pour financer le transport en commun, l'Union des municipalités du Québec (UMQ) interpelle le fédéral. Au cours d'un sommet sur le transport collectif, qui se déroule vendredi  à Drummondville, le président de l'UMQ, Martin Damphousse, a affirmé qu'on ne parle pas du ...

7 mai 2024

Quatre départs en quelques semaines au cabinet de François Legault

Le premier ministre François Legault perd un quatrième collaborateur en quelques semaines: son directeur des relations médias, Manuel Dionne, qui se joindra à la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ).  Ce départ survient après ceux de Vincent Desmarais, d'Isabelle Lewis et de Sébastien Lauzon, tous des membres de la garde ...

6 mai 2024

Projet de loi 51: les opérateurs de machinerie lourde sonnent l'alarme

Le gouvernement Legault s'apprête à permettre à des charpentiers-menuisiers d'opérer de la machinerie lourde, sans qu'ils n'aient la formation nécessaire. C'est ce que soutient l'Union des opérateurs de machinerie lourde, local 791, qui dénonce le principe de «polyvalence» inscrit dans le projet de loi 51. En point de presse à Québec lundi, ...