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De retour… «Et que ça saute !» la saison II

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26 septembre 2012
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Dès le premier épisode de la saison 2, place à une élimination de masse. Rappelez-vous, l’an passé, ils étaient 100 candidats. Cette année, la saison a commencé avec seulement 24 challengers présélectionnés sur près de 500 candidatures. De ces 24, il n’y aura plus que 12 prétendants au gain final de 100 000 $, avec une éviction par semaine.

«Nous leur faisons traverser cinq épreuves culinaires et défis par jour, chaque journée équivalent à un épisode sur les onze programmés de la série», explique Martin Juneau, membre du jury. «Parmi les épreuves, il y aura des sorties à l’extérieur, afin que les candidats découvrent et partagent la vie quotidienne d’un cuisinier en recherche sans cesse de nouvelles idées de plats. On espère le coup de cœur.»

Martin Juneau, le ''bon cook''

«Avec Giovanni Apollo, on joue à ''bon cook, bad cook''», admet le chef du restaurant Le Pastaga. «Les candidats sont là pour apprendre surtout les techniques de base, et approfondir leurs connaissances comme savoir lever un poisson, préparer une volaille ou ouvrir des huîtres, première épreuve évaluée. Lors du premier enregistrement, on fait connaissance, présente le chef Juneau. Ils font leur plat signature et doivent savoir reproduire un mets afin de prouver la pertinence de leur présence ici», ajoute-t-il. «Certes, ces cuistots en herbe ne sont pas des professionnels de la cuisine. On y trouve par exemple, un avocat, un sommelier, un préposé de maison de retraite, une grand-maman ou encore un physiothérapeute.» Martin Juneau précise qu’il sera plus vigilant que son acolyte sur la présentation esthétique des repas et espère que ses conseils vont éveiller des vocations. Apollo et Juneau : les deux maîtres cuisiniers se connaissaient de réputation avant l’émission. Giovanni et Martin affirment bien s’entendre et développer une complicité extraordinaire. Il faut dire que le tournage est intense avec la réalisation de trois émissions par semaine, entre le 27 juin et le 19 juillet. Cependant, en termes d’approche culinaire, le jeune chef Martin Juneau considère sa cuisine comme plus classique que son compère du jury, Giovanni Apollo, pourtant plus aguerri.

(À suivre : Un hyperactif aux fourneaux)

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