L’identité de la femme retrouvée calcinée le 30 juin dernier dans un véhicule en bordure du chemin des Trente, à Otterburn Park, n’a pas encore été déterminée.

Les résultats de l’expertise médicolégale devraient être connus sous peu. Selon le sergent Pierre Tremblay, de la Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent, l’examen des empreintes dentaires pourrait révéler l’identité de la victime. Il faudra toutefois attendre pour les résultats de l’analyse de l’ADN.

Ce dernier indique que la disparition de la propriétaire du véhicule incendié ne confirme pas qu'elle se trouvait à l’intérieur.

« Il faut attendre d’avoir la certitude avant de conclure, dit-il. Plusieurs situations auraient pu se produire. La famille souhaite garder espoir. »

M. Tremblay affirme que les policiers ont reçu beaucoup d’informations de la part de la population et que l'enquête se poursuit. « C’est une enquête criminelle. Il s’agit d’une mort suspecte et aucune possibilité n’est rejetée. »