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Des eaux sans risque pour notre santé

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25 juillet 2011
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Par Nathalie Paquin

La saison estivale invite à la baignade et aux activités nautiques. Parmi les plans d’eau les plus populaires, près de nous : le lac artificiel du Domaine de Rouville et la rivière Richelieu. Mais qu’en est-il de la qualité de ces eaux ? Nous sommes allés cueillir des réponses.

Les plans d’eau pour la baignade inscrits au programme Environnement-Plage font l’objet d’études de la part du ministère de l'Environnement, qui effectue des tests fréquents. Pour l’été 2011, cette campagne d’échantillonnage se tient du 13 juin au 26 août. Les plages des régions concernées se voient attribuer une cote de classification bactériologique. Des données renouvelées en diverses périodes.

Une plage cotée A

Pour la plage du Domaine de Rouville, à Saint-Jean-Baptiste, les derniers prélèvements, effectués le 20 juillet en quatre zones de cette plage, accordent tous une cote A, soit le meilleur classement établi, qui se traduit par « Excellente ». Les autres cotes possibles étant B pour « Bonne », C pour « Passable » et D pour « Polluée ».

Une rivière à grand débit

N’ayant pas de plages sur son littoral, la rivière Richelieu est toutefois soumise aussi à différents tests, et ce, à quatre stations, la plus près du secteur Mont-Saint-Hilaire / Beloeil se trouvant au nord de Saint-Jean-sur-Richelieu.

Marc Simoneau, du ministère de l’Environnement, indique que la qualité bactériologique y est jugée satisfaisante et souligne que la qualité de l’eau de cette rivière s’est grandement améliorée aux cours des dernières années. « C’est une rivière avec un bon débit. Exceptionnellement cette année, alors que la moyenne à ce temps-ci est de 241 mètres cube seconde, on a 460 mètres cube seconde. »

Celui-ci rappelle toutefois qu’une certaine prudence s’impose toujours pour les activités sur ces types de plans d’eau. « Il faut éviter de se plonger la tête sous l’eau pour ne pas avoir de problèmes aux oreilles et aux yeux. Et de retour à la maison, on prend une douche. Aussi, si on a une plaie, on demeure très vigilant. »

François Simard, agent d'information aux relations de presse pour l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie, recommande aussi d’éviter d’avaler cette eau et de se sécher en se frottant avec une serviette, immédiatement après l’activité nautique.

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