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La limite baissera à 40 km/h à Otterburn Park

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21 avril 2012
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Par Isabelle Laramée

La limite de vitesse sera abaissée à 40 km/h dans les rues d’Otterburn Park. Le conseil en a fait l’annonce à l’occasion de la séance du 16 avril. L’implantation des panneaux de signalisation devrait se faire durant le mois d’août.

« Nous avons souvent des commentaires de la part des citoyens à propos de la limite de vitesse et de la sécurité dans les rues de la municipalité, mentionne le maire Gérard Boutin. Les résidants trouvent que les gens ont tendance à dépasser la limite de 50 km/h. »

Bien que la Régie intermunicipale de police Richelieu−Saint-Laurent n’ait pas identifié de problématique en ce sens, la Ville a décidé d’abaisser la limite de vitesse par mesure préventive. Selon le maire, « le sentiment général est que la limite de 40 km/h donne un message clair qu'il faut ralentir ».

Comme plusieurs municipalités, Otterburn Park réduira donc ses limites de vitesse, sauf sur les chemins Ozias-Leduc et des Patriotes, où le maximum restera à 50 km/h. Puisque ces deux rues sont sous la responsabilité de la Ville de Mont-Saint-Hilaire et du ministère des Transports du Québec, respectivement, Otterburn Park ne peut modifier la limite de vitesse.

La Ville profitera de ce changement pour revoir complètement son système de signalisation et déplacer certaines indications. « L’ensemble de la planification d’affichage sera plus simple, dit M. Boutin. Il y aura un panneau à chaque entrée de rue sur Ozias-Leduc et le chemin des Patriotes. Ils seront mis aux meilleurs endroits. »

Boisé de la rue des Perdrix

Par ailleurs, des résidants ont de nouveau questionné les élus au sujet du boisé de la rue des Perdrix, durant la séance du conseil. Bien que la municipalité souhaite aller de l’avant avec le projet de vente du terrain, celle-ci demeure ouverte aux commentaires.

« On a mis les cartes sur la table en février dernier, rappelle Gérard Boutin. On voulait laisser la chance à tout le monde de s’exprimer. Je ne peux pas laisser paraître aux gens que nous allons rester imperturbables et nous rendre au bout du projet coûte que coûte. »

M. Boutin mentionne qu’il s’attendait à une réaction négative de la part de plusieurs résidants, surtout ceux habitant près du boisé. Il admet toutefois ne pas avoir entendu d’arguments assez convaincants pour changer d’avis. « Au moment où l’on se parle, on croit que nos arguments sont solides », dit-il.

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