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Le propriétaire du Centre canin international est en colère

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9 novembre 2012
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Par Isabelle Laramée

Le propriétaire du Centre canin international, Gérald Vaillancourt, a réagi fortement à l’arrêt du contrat liant son entreprise de Greenfield Park aux municipalités qui auront recours aux Services animaliers de la Vallée du Richelieu. Pour ce dernier, les raisons qui ont motivé leur départ ne sont pas fondées et salissent à sa réputation.

« C’est de la diffamation et j’ai toutes les preuves », s’est empressé de dire Gérald Vaillancourt dans un entretien téléphonique à la suite des propos tenus par le maire de Saint-Mathieu-de-Beloeil et vice-président de Mira, Michel Aubin, dans l’article intitulé Les villes tournent le dos au Centre canin international, paru la semaine dernière dans le Vallée-du-Richelieu Express.ca.

Pour celui qui est propriétaire du Centre canin international depuis 18 mois, il lui aurait été impossible de facturer pour des animaux qu'il n'avait pas puisque tous les appels de services sont répertoriés. « Je n’ai jamais facturé un chat qui n’était pas en ma possession », assure-t-il.

M. Vaillancourt déplore de plus le fait que M. Aubin ait qualifié les conditions animales de minimes et rappelle que son centre est régulièrement inspecté par l’organisme Anima Québec.

« Avant de me donner le contrat, Michel Aubin est venu visiter mes installations et elles étaient correctes. Si elles ne faisaient pas son affaire, il avait juste à le dire », mentionne M. Vaillancourt, ajoutant que M. Aubin connaissait aussi les prix dès le départ.

« C’est de la diffamation et j’ai toutes les preuves » Gérald Vaillancourt, propriétaire du Centre canin international

Toujours selon Gérald Vaillancourt, il est normal qu’il agisse pour des raisons monétaires, comme le déplore Michel Aubin, puisque le Centre canin international est une entreprise. Il précise toutefois qu’aucune euthanasie n’est pratiquée sur les chiens, qui sont plutôt donnés en adoption. Seuls les chats malades, trop vieux ou agressifs sont euthanasiés par un vétérinaire.

Relation difficile

Gérald Vaillancourt confirme que la relation entre les deux hommes était difficile et concède qu'il avait une attitude négative envers Michel Aubin. « Je vais accepter ses reproches concernant mon attitude négative, car je ne m’entendais pas avec lui », lance-t-il.

Rappelons que les municipalités de Sainte-Julie, de Varennes et de Saint-Amable avaient cessé leur contrat avec cette entreprise de Greenfield Park afin de se tourner vers l’organisme sans but lucratif les Services animaliers de la Vallée du Richelieu à la suite de sa création.

Gérald Vaillancourt est toutefois sceptique quant à l’économie que les Villes estiment pouvoir faire en se tournant vers cet organisme.

Il a envoyé une mise en demeure à Michel Aubin, la semaine dernière, en raison de ses propos, qu'il qualifie de diffamatoires.

Il est possible de lire l’article Les villes tournent le dos au Centre canin international en cliquant sur ce lien.

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