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Des soirées percutantes avec Cœurs battants

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15 juillet 2011
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Par Isabelle Le Maléfan

Avis aux amateurs de djembés et autres percussions : le trio Cœurs battants propose, tous les mardis soirs au parc du Ruisseau à Saint-Basile-le-Grand, des soirées de musique latino-africaine. On peut y amener ses instruments pour accompagner le groupe ou tout simplement se laisser envahir par les sons rythmés du groupe.

Cœurs battants a décidé d’organiser un jam tous les mardis soirs de 19 h à 21 h. Cette session de musique improvisée, ouverte à tous, a été mise en place au début de l’été avec comme objectifs : « jouer de la musique ensemble et promouvoir nos cours », explique le fondateur du trio, Claude Bourgeois.

Ce dernier dispense en effet des cours de djembé à la salle de spectacle Arts Stations de Mont-Saint-Hilaire.

Jusqu’à la fin août, Cœurs battants propose ainsi de s’évader sur des rythmes africano-latino. « Depuis le début, nous avons beaucoup de monde qui vient nous voir jouer, raconte M. Bourgeois. D’ailleurs, j’ai remarqué qu’une semaine, des jeunes viennent écouter et la semaine d’après, ils sont là, avec nous, à jouer sur leur propre instrument. »

C’est cet esprit de convivialité autour de la musique que souhaite créer le trio, formé de la Granbasiloise Sylvie Venne, du Montréalais Luc Fournier et du Beloeillois Claude Bourgeois.

« Notre nom ? Dans les percussions, pour bien battre la mesure, il faut écouter les battements de son cœur. Ça nous aide beaucoup d'être dans le temps et à l'écoute des autres percussionnistes. D’où le nom Cœurs battants », explique M. Bourgeois.

Tout simplement pour s’amuser

Ce dernier assure qu’il n’est pas nécessaire de disposer d’un tam-tam pour jouer de la musique. « Chacun peut venir jouer avec nous avec n’importe quel instrument de percussions, que ce soit avec des clochettes, des tambours ou encore des bâtons », précise le musicien.

Le début de chaque jam se fait par des rythmes simples pour permettre aux amateurs de s’amuser, tout simplement. « Il est nécessaire que tout le monde embarque, poursuit M. Bourgeois. Ensuite, avec ceux qui ont plus de connaissances, j’enchaîne d’autres rythmes, parfois plus complexes, toujours dans le but de s’amuser. »

Et quel sentiment procure les percussions ? « Un sentiment de bien-être, selon le percussionniste. Nous oublions tous nos soucis. Les percussions sont des instruments de musique très ''sociaux''. »

C’est lors d’un rassemblement sur les flancs du mont Royal, à Montréal, que ce dernier a découvert le djembé. « Je joue depuis 10 ans. Auparavant, je fabriquais de l'artisanat amérindien, notamment des tambours. Un jour, je suis allé à Montréal voir des jeunes joués du djembé dans le parc. Et là, j’ai embarqué. Cet instrument est vraiment accessible à tout le monde car il est assez facile à apprendre. »

Les jams extérieurs sont animés par Coeurs battants (en absence de pluie),  tous les mardis jusqu’au 30 août, de 19 h à 21 h.

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