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Le développement comme priorité pour la MRC

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17 janvier 2014
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Par Isabelle Laramée

Le développement des terrains vacants sera une priorité pour les maires de la MRC de la Vallée-du-Richelieu au courant de la prochaine année.

Selon le préfet de la MRC et maire de McMasterville, Gilles Plante, l’adoption d’un règlement en accord avec le Plan métropolitain d’aménagement et de développement (PMAD) permettra aux élus d’aller de l’avant avec divers projets domiciliaires.

« C’est ce qui nous permettra de demander à la Communauté métropolitaine de Montréal, qui règlemente le développement des villes autour de la métropole, l’exclusion notamment des deux terres agricoles restantes à McMasterville et à Saint-Basile-le-Grand. On ne peut pas demander le dézonage, ce qui nous permettrait de rentabiliser le territoire de nos municipalités », explique-t-il.

Le maire de Mont-Saint-Hilaire, Yves Corriveau, estime que le règlement du PMAD oblige la construction un trop grand nombre d’habitations à l’hectare en périphérie des circuits de transport en commun. Ce dernier souhaite défendre son point de vue cette année afin de s’assurer que la ville conserve son aspect champêtre.

Dire bonjour à la biométhanisation

La MRC se penchera de plus sur un programme de collecte de matières putrescibles en vue de l’ouverture de l'usine de biométhanisation, à Varennes. La MRC devra aussi trouver une façon de jumeler cette collecte à celle des matières résiduelles.

« La biométhanisation est très importante et son organisation se fait conjointement avec les MRC de Rouville et de Marguerite d’Youville, explique M. Plante. Il faudra voir comment nous pourrons mettre en pratique la collecte des matières putrescibles, en plus de démarrer une importante campagne de sensibilisation sur le compostage. »

La MRC devra par ailleurs trouver une façon d'améliorer l'efficacité des pompiers en raison des modifications imposées par le gouvernement dans le Schéma de couverture de risques en sécurité incendie.

« Le nombre de pompiers nécessaires sur un lieu d’incendie passera de 8 à 10 en 2014. Nous avons quelques problèmes, car le déplacement des pompiers, qui sont en majorité volontaires, est plus long en raison du temps nécessaire pour qu’ils arrivent à la caserne. Il faudra ajuster le temps d’intervention en fonction de leurs déplacements. »

L’entretien des cours d’eau de la région pour assurer un écoulement normal est aussi très important pour M. Plante. Entre 12 à 15 opérations de nettoyage sont prévues cette année.

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