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La CCIVR investit 250 000 $ pour améliorer l'image de la 116

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15 novembre 2012
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La Chambre de commerce et d’industrie Vallée-du-Richelieu (CCIVR) a annoncé, le mercredi 7 novembre, un investissement de 250 000 $ pour changer l’image du boulevard Sir-Wilfrid-Laurier (route 116). Cette somme, qui sera versée au cours des cinq prochaines années, concernera les villes de McMasterville, de Beloeil et de Mont-Saint-Hilaire.

L'objectif est d'harmoniser les projets de revitalisation de la route 116 afin de donner un second souffle aux commerces de cette artère.

« C’est quelque chose auquel nous pensions depuis un certain moment et qui a été discuté au conseil des sages, qui est composé d'ex-présidents de la Chambre. Ils étaient tous parfaitement d'accord », indique la directrice générale de la CCIVR, Anne Durocher, ajoutant que les investissements seront répartis équitablement entre les trois municipalités.

Selon Mme Durocher, l’ajout d’oriflammes le long du boulevard Sir-Wilfrid-Laurier, entre Mont-Saint-Hilaire et McMasterville, aidera grandement à uniformiser l’image de marque. « Les oriflammes aideront à promouvoir la 116 selon les différentes thématiques durant l’année et mettront de la couleur. »

Cet investissement servira également à l’affichage, à l’animation et aux communications en lien avec la revitalisation. La CCIVR souhaite de plus embaucher un chargé de projet afin de mettre en œuvre un plan d’action. Des recenseurs seront aussi formés pour représenter la CCIVR auprès des commerçants.

« Cet investissement favorisera la création de richesse dans la région et contribuera à maintenir, voire à augmenter, le nombre d’emplois dans notre communauté », a mentionné le président de la CCIVR, Sébastien Sills.

Soutien des villes

Selon Anne Durocher, les prochaines semaines seront cruciales pour le projet de revitalisation de la 116. Les récents événements qui ont poussé la Ville de Beloeil à revoir ses plans préoccupent la directrice générale de la CCIVR.

« Nous souhaitons que le projet de revitalisation soit accepté à Beloeil, dit-elle. Les quatre projets que sont le nôtre, celui de McMasterville, de Beloeil et de Mont-Saint-Hilaire sont les morceaux d'un casse-tête que nous devons imbriquer pour pouvoir démarrer la revitalisation. Notre projet d’image de marque a besoin d’avoir le soutien des municipalités pour investir dans les infrastructures. »

Pour Mme Durocher, la revitalisation de l’image de marque du boulevard pourrait se faire sans la participation de la Ville de Beloeil. « Le résultat ne sera cependant pas le même, poursuit-elle. Nous souhaitons harmoniser la 116 et créer un espace agréable. La base de la revitalisation passe par le renouvellement des infrastructures et nous avons besoin de l’apport des villes. »

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